L’École de génie de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) a tenu son tout premier colloque le 19 mars dernier. Sous le thème « La recherche à l’École de génie de l’UQAT : des créneaux de recherche porteurs », l’évènement a réuni une soixantaine de membres de la communauté étudiante ainsi que des partenaires venus découvrir les thématiques sur lesquelles travaillent les équipes de recherche. Offert également à distance, le colloque a attiré près de 20 participantes et participants en ligne.
Des membres du corps professoral de l’École, dont Mourad Nedil, Tahar Tafticht, Fouad Slaoui-Hasnaoui, Mohamad Saad, Hatem Mrad et Fouad Erchiqui, ont eu l’occasion de présenter leurs travaux. Des étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs se sont également joints à eux pour présenter différents projets portant sur les créneaux de recherche de l’École : antennes intelligentes et propagation, énergies renouvelables et réseaux électriques, robotique et commande des systèmes, fiabilité des systèmes industriels, biocomposites fonctionnels ainsi que biomatériaux et écoconception.
Les participantes et participants ont eu l’occasion de poser des questions et d’échanger avec les équipes de recherche. Des représentantes et représentants d’entreprises comme Agnico Eagle, Télébec, Blais Industries et Optimise-Action, pour ne nommer que celles-ci, ont pu ainsi s’informer des dernières avancées en ingénierie. Ce rendez-vous leur a également permis d’exprimer leurs besoins en recherche et développement, une occasion idéale pour les membres de l’École d’être à l’écoute des enjeux vécus par le milieu. De nouvelles collaborations sont certainement à prévoir!
À propos de l’École de génie
Depuis de nombreuses années, l’UQAT offre des programmes dans le domaine de l’ingénierie et contribue ainsi à la formation des ingénieures et ingénieurs du Québec. L’École propose quatre baccalauréats de premier cycle (génie mécanique, génie électrique, génie électromécanique et génie des mines) ainsi que des programmes aux cycles supérieurs. Actuellement, près de 150 étudiantes et étudiants sont inscrits à la maîtrise et au doctorat en ingénierie, représentant une belle relève pour la recherche.